Je voudrais insister sur deux points.
D’une part, il est particulièrement injuste de revenir sur l’article 41 de la loi de 2016, car aucun autre fonds de formation des chefs d’entreprise n’est plafonné.
D’autre part, et j’y insiste, les chefs d’entreprise artisanale doivent relever de nombreux défis pour s’adapter à un environnement en profonde mutation. Ils ont plus que jamais besoin de se former, peut-être bien plus que d’autres chefs d’entreprise. Il serait important de faire la promotion de la formation auprès d’eux, qui ont déjà parfois du mal à se libérer pour suivre des formations. Il est important de continuer à travailler dans ce sens pour leur permettre de s’adapter au nouveau monde économique.