Cet amendement fait l’objet d’un large consensus – on peut le constater –, et je ne suis pas du tout d’accord avec le Gouvernement. En fait, c’est essentiellement une histoire de sous.
Le droit actuel est un frein important au développement des plantations, qui n’existent pas que dans le sud. Dans mon département, la Vienne, il y a aussi eu de gros efforts. Je le sais pour rencontrer souvent les trufficulteurs.
Comme cela a été dit, cette production apporte une richesse complémentaire à nos agriculteurs ; c’est un véritable revenu d’appoint. Il faut donc suivre l’avis de la commission pour soutenir, comme il se doit, la trufficulture, qui est vraiment un plus pour nos agriculteurs, dont certains connaissent beaucoup de difficultés.