Plus sérieusement, vous avez dit, monsieur le président Guillaume, qu’il me suffirait de changer d’avis pour être invité au repas consacré à la truffe au Sénat. Je ne dis pas que la tentation n’est pas grande, mais imaginez que, pour ma première apparition en séance, je change d’avis pour pouvoir être invité à un repas, ce serait plutôt mal perçu.