Cet amendement a pour objet de revenir à la logique originelle des contrats aidés, à savoir la formation, le « mentorat » et l’insertion. Il est ainsi proposé de limiter la dérive en la matière, en maintenant le nombre de contrats aidés sous le nombre de titulaires ou de contrats de droit commun. Le nombre de contrats aidés ne pourra donc plus dépasser 50 % du nombre d’employés dans une structure, qu’elle soit publique ou privée.
Nous sommes dans une période de réflexion sur les contrats aidés, et l’adoption de cet amendement permettrait de diminuer le nombre de ces contrats, renforçant ainsi les chances d’insertion.