Nous allons maintenant entendre la communication de René Danesi au nom du groupe de travail sur le Partenariat oriental, composé également de Gisèle Jourda, que je vous prie d'excuser ce matin, Pierre Médevielle et moi-même.
Notre commission avait entendu, en juillet 2016, un rapport très complet de Pascal Allizard au nom du groupe de travail de notre commission, sur ce partenariat, mis en oeuvre par l'Union européenne à partir de 2009 en direction de six anciennes républiques soviétiques l'Arménie, l'Azerbaïdjan, la Biélorussie, la Géorgie, la Moldavie et l'Ukraine.
Ce rapport rappelait que ce projet ambitieux s'est heurté à des obstacles sérieux tenant à la fois à un contexte géopolitique complexe, à une grande diversité de situations nationales et à des relations difficiles avec la Russie. Au total, il concluait à un bilan en demi-teinte.
Le sommet qui s'est tenu à Bruxelles le 24 novembre justifiait un nouveau point sur ce partenariat. Après l'exposé de René Danesi sur ses origines et son bilan, Pierre Médevielle et moi-même vous apporterons un éclairage complémentaire.