Ma proposition de travailler sur les mobilités à l'aune du numérique peut être reliée à la problématique de l'aménagement du territoire et des besoins en termes de déplacement. Étant représentant du Sénat au sein des Assises de la mobilité, je peux témoigner du travail énorme déjà fait en la matière. Je citerai, par exemple, les projets de péages inversés, le développement d'applications dédiées au choix d'un trajet, à l'achat de billets, à la location de moyens de transport.
Les technologies numériques peuvent permettre de redéfinir les notions de centre et de périphérie, en supprimant ou en atténuant la notion d'espace-temps dans un certain nombre de situations. Les bouleversements sont à attendre tant en ville qu'à la campagne.