J'apporte mon soutien au travail qui a été effectué et les recommandations semblent aller dans le bon sens. Les problèmes semblent moins concerner les normes « grises » que les obligations découlant d'objectifs commerciaux qui se développent avec la privatisation des compétitions sportives. La question se pose de savoir qui produit les normes et selon quelle prise en compte de l'intérêt public.
Concernant la densité des équipements sportifs, il apparaît nécessaire de s'interroger sur les usages multiples qui peuvent être faits de nombreux équipements sportifs pour éviter un sous-équipement de certains territoires.
Enfin, le sport universitaire souffre d'un sous-équipement chronique, qui pourrait appeler, là encore, des mutualisations.