Efficacité, ensuite, car on ne saurait garantir le droit d’asile sans maîtriser les flux migratoires ni reconduire à la frontière ceux qui ne peuvent rester sur le sol français.
Je le rappelle, les demandes d’asile – plus de 100 000 en 2017 – ont augmenté et près de 85 000 personnes ont fait l’objet d’une non-admission à nos frontières.
Je tiens à dire ici la confiance que je place, ainsi que le ministre d’État, dans tous les personnels de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, l’OFII, de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, l’OFPRA, des préfectures et des services de police, qui, tous les jours, sont sur le terrain pour accueillir les migrants et les aider à s’insérer dans notre pays.