L'endettement potentiellement excessif des grandes entreprises porte-t-il sur les opérations elles-mêmes ou constitue-t-il un risque pour les établissements de prêts qui proposent des produits dérivés, sans que soit tirée la leçon de la crise de 2008 ?
Vous estimez que la faiblesse de la croissance potentielle provient davantage du facteur travail que du capital ; le chômage structurel la freinerait. Mais habituellement, ne calcule-t-on pas ce chiffre différemment ?
Je partage les remarques sur l'efficacité relative du policy mix en Europe. La France est décalée, en raison de son niveau de dépenses publiques et du trop faible ralentissement de son déficit public. Ce policy mix est-il si favorable pour la France ?