Monsieur le directeur général, où en êtes-vous en Iran ? En attendant que Trump prenne sa décision sur le nucléaire et les missiles, il a interdit à toutes les banques américaines - et fait pression dans ce sens sur les banques européennes les plus importantes - d'aider aux investissements des grandes entreprises dans ce pays. Total et Renault peuvent s'en passer, mais cela pousse vers vous toutes les autres entreprises, que ce soit pour les investissements ou pour les accords commerciaux.
Ce que vous allez voir demain en Normandie est amusant : le formidable contrat arraché par Hervé Morin porte sur 17 000 puis 20 000 vaches, mais seules les 600 premières d'entre elles sont assurées de partir pour l'Iran en juin.