Élisabeth Moiron-Braud, secrétaire générale de la Mission interministérielle pour la protection des femmes victimes de violences et la lutte contre la traite des êtres humains (MIPROF) :
Nous avons préconisé 13 ans, car il s'agit d'une présomption irréfragable. Il faut faire attention à l'âge de 15 ans, en particulier dans le cas d'un acte sexuel entre un mineur de 15 ans et un jeune majeur de 19 ans.