Je le confirme. Nous avions beaucoup débattu à l'Assemblée nationale de cette procédure qui interviendra dans l'urgence, au coeur de l'été. Nous avons choisi de laisser de la fluidité, de parier sur l'intelligence collective et d'encourager les intéressés à se parler.
Nous sommes opposés au veto car au milieu de l'été, comment les interlocuteurs de l'université pourront-ils répondre rapidement ? Une rédaction qui inclut dialogue, respect des capacités d'accueil et proposition alternative est en revanche tout à fait acceptable.