Je salue le travail accompli à l'Assemblée nationale par notre collègue Annie Genevard, qui a oeuvré avec énergie à ce que la maîtrise de la langue française figure dans le présent projet de loi. Nous n'avions hélas pas réussi à nous accorder sur une rédaction satisfaisante. M. Grosperrin, sénateur du Doubs, le département de Mme Genevard, y est parvenu et je m'en réjouis.