Dans notre temps de travail, mais parfois en dehors pour aller jusqu'au bout des démarches.
Il y a généralement confrontation avec la personne, dont la parole est mise sur le même pied que celle du fonctionnaire, même assermenté.
Même en cas de violences, on se débrouille seul. À la suite d'une rébellion violente, un collègue de mon commissariat a été victime d'une fracture de la main : remplir les documents a été une catastrophe, car notre protection fonctionnelle se traduit par quinze à vingt papiers qu'on vous donne sans accompagnement.
À l'heure actuelle, rien n'est mis en place pour une protection réelle et immédiate des policiers agressés.