L'amendement essaie de tirer les leçons de ce qui s'est passé pour le CETA et les négociations relatives à d'autres accords de libre-échange en prévenant l'impact cumulé de ces accords commerciaux sur les secteurs les plus sensibles, en particulier le secteur agricole, qui ne doit pas servir de variable d'ajustement dans les accords commerciaux. L'amendement liste les éléments qui devront constituer la position française lors des négociations. Il reprend mot pour mot la position des autorités françaises actuelles portant spécifiquement sur la perspective de l'ouverture de négociations commerciales avec l'Australie et la Nouvelle-Zélande.