Intervention de André Vallini

Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées — Réunion du 7 février 2018 à 9h50
Syrie — Audition de M. Jérôme Bonnafont directeur d'afrique du nord et du moyen-orient au ministère de l'europe et des affaires étrangères

Photo de André ValliniAndré Vallini :

Si Barack Obama n'avait pas fait preuve d'autant de pusillanimité en 2013, la situation serait peut-être tout autre. François Hollande voulait frapper la Syrie, dès que l'on avait la certitude de l'utilisation d'armes chimiques. Aujourd'hui, la ligne dite « Fabius » a été abandonnée par le gouvernement actuel, il n'est plus question d'un départ de Bachar El Assad.

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