Nous l'avons fermée quant à nous il y a longtemps, mais nous n'avons pas rompu les relations diplomatiques. Nous avons confié à la Roumanie la représentation de nos intérêts à Damas, et il existe un ambassadeur pour la Syrie - même s'il n'est pas en Syrie - qui est notre envoyé spécial à ce sujet.
Nous n'avons pas commencé à travailler sur la réouverture, le contexte ne s'y prêtant pas. Il appartient aux autorités politiques d'apprécier le moment opportun.