S'agissant des certificats d'exportation, sont-ils autant difficiles à obtenir pour le territoire européen qu'à l'international ? Il me semble, au regard de du témoignage qui m'a été donné par une entreprise vendéenne, que cela varie.
L'art est, en France, de qualité, ce qui ne l'empêche pas de souffrir d'un dommageable déficit d'image. Les Français portent un regard désuet sur les ventes aux enchères, qui en outre pâtissent de scandales comme celui de Drouot. Le marché de l'art gagnerait à communiquer de façon plus offensive.
Cette première table ronde réunit tant d'intervenants qu'il est malaisé de comprendre quel est l'interlocuteur concerné en fonction des problématiques évoquées. Partagez-vous un objectif commun ? Cette multiplication des instances représente un mal très français, qui, en l'espèce, donne l'impression que l'art ne se démocratise pas aisément, qu'il demeure un domaine réservé, où règne un entre soi très éloigné du grand public.