Les taux de 60 % et de 6 %, que vous avez évoqués concernant la place du marché français de l'art à l'échelle internationale, frappent par leur ampleur. Quelle signification revêt, selon vous, cette chute vertigineuse ? À quel niveau le marché français pourrait-il raisonnablement se situer ? Que représente, par ailleurs, la part des ventes réalisées sur Internet en volume et en tendance ? Vos interventions m'ont donné l'impression d'une confrontation entre professionnels et régulateurs du marché de l'art. Existe-t-il néanmoins, entre vous, un dialogue constructif ?