Les crédits de l'État destinés à la diplomatie d'influence ont subi une baisse de 3,9 %. Tout en réduisant leur budget d'activité, les instituts français cherchent des cofinancements et se tournent naturellement vers le mécénat. La promotion de la culture française peut se faire autrement. Ne pourrait-on envisager, au cas par cas, des regroupements d'entités publiques, tant l'attractivité économique et touristique de notre pays demeure en grande partie culturelle ? Je pense ainsi au regroupement, à Madrid, de Business France et d'Atout France.