On regarde si le service est bien géré, on tient compte des difficultés particulières qui interviennent dans cette gestion, on regarde s'il y a des retours syndicats. En tout cas, il n'y a rien d'automatique. La culture policière du chiffre existe bel et bien et elle est partagée. Un policier qui travaille à la brigade anti-criminalité (BAC) comptera ses mises à disposition, et dans la police judiciaire on comptera le nombre d'écrous. Cette institution passe son temps à s'évaluer en fonction de son activité.