La carotte et le bâton restent les outils les plus efficaces. Il faut bien sûr un volet sécuritaire. Mais la prison n'est pas un espace clos, c'est un milieu qui respire : on y entre, on en sort. Un détenu très radicalisé et non pris en charge pendant sa peine peut causer de grands dégâts. Il faut donc aussi une politique sociale de réintégration. C'est la carotte.