Vous me dites que nous voudrions esbaudir les Français par un tourbillon de réformes… Je ne le crois pas. Nous essayons, sujet après sujet, de réparer un pays qui a des atouts considérables et des richesses merveilleuses, mais qui connaît aussi des problèmes dont nul ici ne peut nier l’importance et l’intensité, ni l’ancienneté.
Lorsque nous essayons, comme aujourd’hui, d’apporter une réponse face à la dégradation du service public ferroviaire, nous tentons de réparer une situation qui n’est pas apparue en neuf mois.
Lorsque nous essayons, comme aujourd’hui sous l’autorité de Mme Vidal, de réparer l’accès à l’université française