Je condamne évidemment la violence, qu’elle soit d’extrême gauche ou d’extrême droite. La situation n’est pas celle que vous décrivez. Elle s’apparente plutôt à une manipulation, conduisant parfois à vouloir remettre en cause, dans les amphithéâtres ou dans la rue, les résultats d’élections démocratiques qui, à ce titre, doivent être respectés au moins autant que l’expression publique de mécontentements.