En outre, vous avez relevé que la presse, notamment La Provence, à Marseille, avait publié certains propos à ce sujet. Mais à qui la faute ? D’une certaine manière, votre responsabilité est pour partie en jeu, madame la ministre. En effet, pour évoquer cette question, vous avez réuni quelques parlementaires, soigneusement triés au préalable. C’est donc cela, la République ?