La plantation de végétaux pour fixer les particules fines n’est pas l’action prioritaire à mener pour lutter contre celles-ci. Pour en diminuer le nombre, il est préférable d’agir à la source, c’est-à-dire sur les facteurs d’émission : les automobiles, les chaudières et toutes les autres sources industrielles.
Cet amendement tend à accréditer l’idée que, pour lutter contre les gaz à effet de serre, il faut planter des végétaux. Nous pourrions convenir ensemble qu’il est plus efficace d’agir sur les sources d’émission des gaz à effet de serre. Mais l’un n’empêche pas l’autre…
Je rappelle enfin qu’un plan particules sera lancé au mois de mars dans le cadre du deuxième plan national santé environnement, ou PNSE.
Pour cette raison, je formule un avis défavorable.