Ces coûts se décomposent entre les frais de gestion qui sont passés de 4 % à 8 % et le préciput destiné à faciliter le financement de matériel et à optimiser les fonctions support, passé de 5 % à 11 %. Nous sommes désormais à 19 %. La question qui se pose est celle d'une globalisation. Nous y travaillons avec le ministère.