Nos deux rapporteurs ont apporté le témoignage vivant de ce que nous rencontrons sur le terrain.
Tout d'abord, il n'y a pas de commerces sans consommateurs. La simplification des règles d'urbanisme dans les quartiers anciens est une priorité.
Ensuite, la politique de transport en milieu rural mérite de faire l'objet d'expérimentations.
Enfin, dans les zones frontalières, nous subissons la double peine. À vingt kilomètres, des produits sont commercialisés 30 % moins cher qu'en France. Cette évasion commerciale aggrave encore le problème de la disparition des commerces dans les centres-bourgs et les centres-villes, sans qu'aucun dispositif ne permette de l'endiguer.