L'orientation est un vrai sujet. La répartition des élèves d'une terminale S est à peu près équilibrée entre garçons et filles, ce qui est déjà un progrès. Les classes de préparation aux grandes écoles scientifiques, en revanche, sont essentiellement masculines, alors qu'en khâgne, on ne trouve quasiment que des filles. C'est un défi majeur à relever. L'école ne peut pas tout régler. La société a un rôle à jouer.