Vous le voyez, notre démarche est équilibrée. Nous constatons les éléments positifs et nous n'occultons aucune des difficultés : ingérence dans les processus électoraux, cyberattaque, Crimée, Donbass, Syrie ; ces sujets sont posés. Mais nous voulons les dépasser par le dialogue, car la Russie sera incontournable pour le règlement des conflits.
J'espère que nos homologues vont nous remettre leurs compléments rapidement et que nous ne devrons pas reporter sine die la publication de ce rapport, qui constitue une première. Je le répète, j'ai été très attentif au respect de la méthodologie permettant à chacun de s'exprimer tout à tour sur chaque sujet.