Et ils ont fini par être écoutés - par exemple sur l'inclusion des détenus de droit commun radicalisés dans les unités dédiées.
Il y a eu un défaut d'anticipation, c'est une évidence.
Quant au centre de prévention de Pontourny en Indre-et-Loire, il n'entrait pas dans notre champ de compétence puisqu'il ne s'agissait pas d'un lieu fermé. Nous l'avons toutefois visité. Le principe était d'accueillir des jeunes qui n'étaient pas sous main de justice ; il a fermé faute de pensionnaires potentiels. Je ne me prononcerai pas sur d'éventuelles autres structures de ce type.