Madame la secrétaire d’État, je ne doute pas de votre volonté, et c’est avec grand respect que je vous dis cela. En tant que sénateur de l’Essonne, je peux vous dire que, un grand calculateur, nous en avons déjà un. Nous avons tout sous la main ! La liste à la Prévert que vous venez de dresser est loin de la réalité.
J’y insiste, nous avons tout sous la main dans ce pays. Il faut une réelle impulsion, qui viendra également avec les moyens. Ce que l’on constate aujourd’hui sur place, ce n’est que du bricolage, ce qui, pour notre pays, est véritablement préjudiciable.