Ce qu'il faut remettre en cause, ce sont les moyens alloués. Aujourd'hui, le délai d'attente en pédopsychiatrie est de 6 mois pour des enfants qui vont très mal. Nous n'avons rien de mieux à leur proposer. Notre consultation « radicalité » fonctionne bien, car nous avons des moyens. Ce n'est pas le savoir-faire qui manque, ce sont les moyens.