Merci à nos deux co-rapporteures pour leur engagement sur ce sujet sensible. Il existe à coup sûr des associations spécialisées dans la lutte contre l'excision, mais il y a aussi une grande méconnaissance de ces problématiques dans certains départements où ces structures spécialisées ne sont pas présentes.
Un travail de fond reste à faire, notamment du point de vue de la communication. Il faut cibler les interlocuteurs et services compétents dans les territoires, afin de renforcer leur sensibilisation à ces drames et leur permettre d'agir comme relais des associations dédiées.