M. Serge Babary. Madame la secrétaire d’État, je vous donne acte, sinon de votre optimisme, du moins de votre bonne volonté affichée, mais j’ai plutôt l’impression d’un fatalisme certain face à la situation qui a été décrite par beaucoup d’intervenants. Pendant ce temps, notre tissu économique se délite, qu’il s’agisse de l’industrie ou de l’agriculture. Dans tous les cas, le sacro-saint accès au marché mondialisé ne profite pas aux consommateurs, qui se voient proposer des produits low cost. C’est sur ces sujets qu’il faut travailler pour éviter un effondrement de notre économie marchande.