En réalité, monsieur de Legge, si l’on pousse le raisonnement jusqu’au bout, la mise en œuvre des dispositions que la commission a adoptées ne devrait pas passer par le canal des cessions. Au fond, s’il s’agit d’affecter 100 % d’un bâtiment appartenant au ministère des armées au logement de militaires, pourquoi faudrait-il le céder ?