Il est également défavorable.
Pour répondre à la préoccupation exprimée par Mme Prunaud sur les conditions de notre intervention en Syrie, mi-avril, j’indique que si cette intervention ne s’inscrivait pas, certes, dans le cadre d’une résolution des Nations unies au sens formel du terme, elle a été déclenchée, je le rappelle, en raison du non-respect, par ce pays, de plusieurs résolutions des Nations unies.
Comme cela a été dit à l’instant par M. Cambon, la France est un pays souverain. En règle générale, elle cherche à inscrire son action dans le cadre des résolutions des Nations unies, mais elle doit pouvoir, à tout instant, apprécier librement si elle doit intervenir ou pas.