Bien évidemment, je comprends tout à fait l’intérêt de cet amendement, qui tend à faciliter autant que possible l’accompagnement d’un enfant atteint d’une maladie grave.
Cependant, il existe d’ores et déjà un certain nombre de dispositifs permettant de répondre à ces situations douloureuses. Ainsi, les parents concernés peuvent bénéficier d’un don de jours de permission. Une affectation temporaire est également possible.
Les situations auxquelles vous souhaitez remédier me semblent donc déjà traitées, madame la sénatrice, mais je m’en remettrai à la sagesse du Sénat sur cet amendement.