Monsieur Menonville, ce n’est pas de gaîté de cœur que j’ai signé le décret dont vous parlez. (Exclamations sur les travées du groupe Les Républicains.) L’histoire n’est jamais aussi simple qu’elle est présentée.
En 2015, un accord a été conclu entre Total et le gouvernement précédent pour transformer cette raffinerie en bioraffinerie, afin de préserver 450 emplois.
Total a effectué plusieurs centaines de millions d’euros de travaux. Si je m’en étais tenu à mon objectif, j’aurais mis 250 personnes au chômage, alors même que Total a tenu son engagement.