Monsieur le sénateur, personne n’a le monopole de la ruralité. Je crois que nous devons tous sortir des schémas et des clichés. Affirmer que la ruralité va mal, je suis désolé de vous le dire, ce n’est pas traduire la réalité. Des territoires ruraux ont des difficultés, comme en ont aussi des territoires urbains.
À force de dire que toute la ruralité va mal, on fait du mal à la ruralité ! Voilà quelle est la réalité.