Le Gouvernement a manqué, dans ce dossier, une occasion triplement vertueuse : il aurait pu contribuer à l’indépendance énergétique de la France, protéger l’environnement – c’est d’ailleurs ce qu’il demande aux agriculteurs français – et aider l’agriculture, en soutenant la filière des biocarburants.
Or le choix qu’il a fait va causer une déception supplémentaire aux agriculteurs, qui avaient pourtant conçu beaucoup d’espoirs à la suite des beaux discours des états généraux de l’alimentation… Ce sont donc encore des paroles, mais où sont les actes ?