La presse italienne, en amont de la rencontre à Paris du 29 mai 2018, a rapporté le mécontentement du gouvernement italien et de la classe politique italienne plus largement, pour ne pas avoir été suffisamment associé par la France à cette initiative. Pourriez-vous nous éclairer sur la relation qu'entretiennent la France et l'Italie sur les défis que soulève la situation actuelle en Libye ? Comment ces relations seront-elles amenées à évoluer avec le nouveau gouvernement italien ?