Vous avez évoqué la tenue de conférences nationales dans 27 villes. En décembre dernier 90 % des maires libyens s'étaient rendus dans la ville d'Hammamet en Tunisie, pour manifester leur volonté d'aboutir à un processus de réconciliation avec la mise en place d'un comité notamment. Ils appelaient à être intégrés dans tout processus de réconciliation globale. Où en est cette initiative compte tenu de la volonté des municipalités, seuls points d'appui que nous avons ?