Je ne peux qu'être très perturbé par la description que nos rapporteur nous ont faite, qui est très inquiétante tant pour les populations concernées que pour la cohésion de notre République.
Vous mentionnez l'obstacle de la langue. Il ne s'agit pas d'une situation récente et la République a franchi cet obstacle dans nos campagnes, même si cela s'est fait par l'interdiction des patois et la négation des cultures locales. Ce modèle n'est plus opérant aujourd'hui. En conséquence, je m'interroge sur l'adéquation à trouver entre le maintien d'un système éducatif national et la prise en compte des spécificités locales. Mon opinion n'est pas encore faite.