Un des éléments qui freinent l’embauche des travailleurs migrants ou leur régularisation sur l’initiative de l’employeur, c’est la taxe dont l’entreprise doit s’acquitter auprès de l’OFII, dont le montant peut atteindre, pour un contrat de douze mois ou plus, 55 % du salaire brut versé au salarié. Bien souvent, d’ailleurs, c’est le travailleur lui-même qui la paye, afin de pouvoir être embauché et bénéficier à terme d’une régularisation.
Nous soutenons donc l’amendement n° 370 rectifié ter.