Cet amendement a lui aussi pour objet de rétablir l’article.
On le sait, l’intégration est facilitée par la scolarisation des enfants et la participation à la communauté scolaire. Les enfants, en général, apprennent plus vite la langue française que les adultes, sont plus facilement acceptés dans la société, permettent la création de liens entre leurs parents et la communauté éducative et scolaire. C’est pourquoi il est essentiel que les enfants puissent être inscrits à l’école. Cet amendement tend donc à prévoir, en cas de refus d’inscription, une intervention du directeur académique des services de l’éducation nationale et du préfet.