J’en prends acte, mais je ne peux pas me contenter de cette réponse.
J’ai entendu les interrogations de M. Duplomb sur l’article 10, mais notre rôle est d’améliorer le texte qui nous est proposé. En l’occurrence, le fait de rappeler ce qu’est le droit français en matière commerciale me semble être une bonne chose pour remédier à un oubli fréquent.
Cela a été dit, les trois grandes centrales d’achat font n’importe quoi. Ce rappel me paraissait donc d’autant plus intéressant qu’il se dégageait une ligne commune de défense sur les produits de la Nouvelle-Aquitaine et ses vins emblématiques.