Ce n'est pas l'obsession d'un camp ni la négligence de l'autre : c'est une nécessité collective, qui exigera l'engagement de tous et de chacun.
On peut bien sûr discuter des moyens, encore que notre niveau d'endettement et de dépenses publiques en limite fortement le nombre, mais on ne doit pas discuter de l'objectif, qui s'impose à chacun d'entre nous, parce que l'avenir de la France est notre bien commun, et parce que la solidarité entre les générations fonde notre éthique commune.