Je répète ici, monsieur le ministre, ce que j'ai eu l'occasion de dire devant la commission des comptes de la sécurité sociale : il est dommage que le Gouvernement ait mis un an à se rendre compte qu'il aurait dû écouter le Sénat ! Si ce dernier avait été entendu, sans doute ne serions-nous pas obligés de revenir aujourd'hui sur les propositions qu'il avait faites à l'occasion de l'exercice budgétaire 2007.
Je ne peux donc que me réjouir de l'engagement pris par M. Éric Woerth d'assurer la compensation à l'euro près de l'ensemble des allégements.