Je le reconnais volontiers, les parties consommables des plantes présentent a priori moins de risques, notamment pour la santé humaine. Comme l’ANSES l’indique dans son avis publié en mars dernier sur le sujet, des évaluations complémentaires sont en revanche nécessaires pour garantir leur innocuité environnementale.
Je suis donc favorable au fait d’adapter davantage les procédures d’autorisation et d’évaluation pour ces types de produits.